vendredi 27 décembre 2013

Inclinaison zéro

Œuvre : Joseph Beuys. Cascade 1954

jeudi 26 décembre 2013

A l'envers

Œuvre : Augusto Giacometti, Summer Night, 1917

mercredi 25 décembre 2013

Eau de pluie

Toile : Sandy Dooley, Winter Pink Winter Grey, 2006

mardi 24 décembre 2013

Le jour à la nuit

Œuvre : Vija Celmins, Web (3), 2000-2002

lundi 23 décembre 2013

Gris de pluie

Peinture : František Kupka, Reds and Blue Disks, 1911-1912

dimanche 22 décembre 2013

Un dimanche après

Œuvre : Sandro Chia, The Idleness of Sisyphus, 1981

samedi 21 décembre 2013

Et puis, rien


Toile : Ellen Phelan, Light in Far Field, 2001









L'anxiété s'invitait d'elle même, violente et sans limites, elle me laissait fatigué, épuisé et hors champs, comme déconstruit et abattu. Et puis sans prévenir, les orages mentaux semblaient s'en aller, aussi vite qu'ils revenaient dans un va-et-vient aussi rapide que mortifère.
J'essayais alors de saisir les accalmies comme un misérable que j'étais, soumis aux affres d'une terrifiante et folle mélancolie.

vendredi 20 décembre 2013

Pluie & Larmes du dedans

Toile : Amy Sillman, Psychology Today, 2006

jeudi 19 décembre 2013

Anxiété en large

Œuvre : David Webster, Cerebellar Islands, 1999



























C'était de ces jours de pluie où le gris rentre dans le sang aussi surement qu'un poison, les  traversés les villages sans soleil sur une route brillante grise huitre.
L’environnement hostile comme un tunnel, comme une pensée noire..et pouvoir se dire que, tout serait si différent si un cœur, un esprit, un être avec 2 jambes et un regard te ferais voir tout autre chose que le grand vide. Pouvoir alors, la regarder en coin, sentir son corps refuser la pluie, son regard dans le tien, comme vrillé à nos deux êtres aussi certainement que nos regards pouvaient y croire.
Sa chevelure légèrement humide de gouttes d'eau, ses lèvres fraiches mais offertes, l'amour comme une douce enveloppe protectrice.
Dans un sourire perforé, se dire que tout serait si différent alors.

mercredi 18 décembre 2013

Le temps déconstruit

Toile : Gerhard Richter, Woods (6), 2005




























L’oppression anxieuse avant la fin, Leponex à tous les étages, 18h47 mon sang distille l'angoisse aussi surement que la nuit m’envahit, 4 Valium plus tard mon regard se soumet, mon corps chimiquement fatigué rend les armes à une nouvelle nuit d'oubli.