Oeuvre :
Vladimir Velickonic, Corps, 2007Aux folles et fétides dérives
De la nuit
J'étirais l'impatience
Comme des eaux mortes désaltèrent parfois
Le coeur
Epuisé par ce ressac sans fin
J'hibernais parmi les loups
En dévorant à pleines dents
Le lourd poids de mon irréalité.