Peinture :
Olivier de Sagazan, 2010Mes bouquins, comme des étrangers
Je foulais aux pieds
Le vin brûlant du grand chagrin
Dehors,en moi
Les funestes flots parfumés
D'un atrium troubadour
Au creux d'un jour tordu
Entendre, la branle triste
D'une tristesse ardente
Le silence en furie
Et la branche d'un univers clos
Sur mon bras droit.